C’est un article de la Nouvelle République dans la rubrique déclic du 10 novembre dernier et intitulé Une photo pour la galerie [Vinci, 55 Rue Bernard Palissy] qui donne une info passée totalement inaperçue, en particulier de la part des rares journalistes ayant couvert l’événement : Jean Germain pose avec un des grands argentiers de l’extrême droite radicale, Sixte-Henri de Bourbon-Parme (au centre de ce fragment de photo) et la galeriste Aurore de Tyssandier d’Escous.
Jean Germain si soucieux de sa communication n’avait pourtant pas à chercher bien loin pour trouver d’où venait la volubile tenancière de la galerie Vinci, son parcours étant à tout le moins éloigné de la sociale démocratie (c’est une familière de Sixte-Henri) :
et son travail sujet à caution : Chronique d’une expo avortée !
A la connaissance du suicide de son ami, Aurore de Tyssandier d’Escous a logiquement ressorti en grand format l’article de la NR pour la devanture de sa galerie et s’est empressée de le rediffuser sur internet, notamment sur le Facebook de sa galerie…